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  • DERNIERE IMAGE

    Nous quittons définitivement Samadama, c’est ainsi ; tout change tout le temps, les êtres les choses, les lieux, les situations, les rapports entre les gens etc... rien n’est établi pour toujours.

    Dernière image : Petit Job, assis devant le portail de la maison, regarde s’éloigner la voiture dans laquelle nous avons pris place.

     

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  • TATI A PONDICHERY

     Evènement  imprévisible : nous déménageons de Samadama, c’est la vie. Le chargement des meubles sur le camion est digne d’une scène d’un film de Tati. La porte de l’armoire n’arrête pas de s’ouvrir laissant s’échapper les tapis roulés à l’intérieur. A chaque fois, un déménageur referme la porte qui à nouveau s’ouvre aussitôt...personne ne pensera à la fermer à clé et à la sécuriser avec une ficelle... Nous regardons, hilares, sans intervenir. Nous n’avons plus d’énergie pour ça et puis c’est vraiment drôle.  

     

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  • HOMME ET CHIEN

    Good Job, le dominant de la petite meute de chiens semi-de-rue de notre portion de quartier, a pris sous sa protection Petit Job à peine sorti des mamelles de sa mère. Il lui enseigne son boulot : défendre le territoire, soi même et les siens. Good Job est l’ami et l’assistant de notre watchman Mr Phillip ( un anglo-indien ancien militaire). La nuit , ses aboiements  le préviennent de toute  incursion ou tout évènement  inhabituel, le réveillant quand il s’assoupit. En échange, Mr Phillip partage avec lui son repas. Selon lui, il fait un « very good job », d’où le nom que nous lui avons donné....Une belle et utile association amicale.

     

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  • POUBELLES, ORDURES ET COCHONS NOIRS

    Toutes sortes d’animaux plus ou moins domestiques vivent dans le quartier, allant et venant, dans la mangrove, dans les rues, les terrains vagues. Il y a entre autres des cochons maigres noirs ( et même un bicolore noir et rose...). Comme tous, ils se régalent de fouiller les détritus à la recherche de quelques morceaux de choix. Il faut dire qu’il y a  de quoi faire : autour des maisons dans les moindres espaces libres, les ordures s’accumulent, déchets alimentaires, emballages de toutes sortes et nombre d’objets hétéroclites déposés là par les habitants que la proximité de leurs poubelles ne gênent nullement. Du moment que c’est propre et débarrassé dans la maison, peu importe les tas pestilentiels à l’extérieur tout contre les murs : les fenêtres sont toujours fermées. C’est comme ça depuis si longtemps ! La force des habitudes. Heureusement, la situation commence à changer surtout dans les centres villes comme à Pondichéry, un gros effort est fait pour installer des poubelles dans les rues et veiller à les débarrasser quotidiennement. Dans les quartiers éloignés comme le nôtre, les « waste bin » sont beaucoup, beaucoup plus rares ( elles n’arrivent pas au bout de notre rue) et moins souvent vidées, mais ça viendra, il faut y croire. Jusqu’à présent, les autorités sont plus promptes à installer le câble qu’à développer ramassage correct des ordures et installation du tout-à-l’égout.

     

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